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Objet hybride entre la borne de jeu Arcade et la machine à sous, LA MACHINE

génère des mouvements sur le principe de séquences tirées au sort par un joueur.

Par un système d’imitation, le joueur muni d’un casque audio, reproduit les gestes d’un danseur à l’écran et apprend un très court extrait chorégraphique.

Objet créatif et ludique, LA MACHINE permet à tous de découvrir la danse contemporaine et la culture chorégraphique en traversant de courts extraits tirés de 30 œuvres de chorégraphes célèbres et moins connus du XXème et XXIème siècles.

LA MACHINE renferme des esthétiques multiples depuis une pièce inspirée du "Ballet Triadique" d'Oskar Schlemmer, en passant par la danse allemande de Mary Wigman, la danse libre d'Isadora Duncan, la danse moderne et post-modern de Ruth Saint-Denis à Lucinda Childs ou encore la danse classique pour finir avec des contemporains comme Carolyn Carlson, Béatrice Massin ou Thomas Lebrun.... et bien d'autres !

[LA MACHINE] IN LIVE !

Parce que découvrir la danse c’est aussi et surtout la voir, le dispositif LA MACHINE, c’est aussi « LA MACHINE IN LIVE » :

  • une performance dansée participative « POWER-UP ! » pour trois interprètes et un groupe d’amateurs

  • un duo jeune public et public familial « TOURNESOL », déambulation hommage aux chorégraphes femmes de LA MACHINE

  • un duo tout public « MÉCANIQUES » dialogue de Valeria Giuga avec le poète sonore Anne-James Chaton 

Le site internet dédié permet de retrouver La MACHINE à tout moment et de se familiariser avec cet univers chorégraphique.

[LA MACHINE - BORNE À DANSER]

une installation ludique - immersive participative

une borne à danser - une exposition interactive - des performances dansées

BORNE À DANSER

Production : Labkine

Coproductions:

VIADANSE/Direction Fattoumi-Lamoureux CCNBFC à Belfort

Espace Multimédia Gantner, Belfort

Labkine est subventionnée par la DRAC Occitanie au titre de l'aide à la structuration.

Valeria Giuga est artiste associée à VIADANSE - Centre chorégraphique national de Bourgogne Franche-Comté à Belfort de 2019 à 2021.

Partenaires :

Le Fresnoy, Studio national des arts contemporains, Roubaix

Le Gymnase - CDCN, Roubaix

La Place de la Danse – CDCN Toulouse / Occitanie

Le Carreau du temple, Paris

Avec l'aide de la SPEDIDAM

LA MACHINE est une acquisition du FRAC Franche-Comté

POWER UP
20210529_powerup_©Frédéric-Iovino_042.

POWER-UP !

Performance participative

Dans la performance dansée participative pour 3 danseurs et un groupe d'amateurs "POWER-UP !", Valeria Giuga ré-invente les différentes matières chorégraphiques que comporte LA MACHINE en les confrontant à travers un processus de re-création, de réagencement, de répétition et d’accumulation.

 

Elle réactive et fait dialoguer des écritures, à la manière d’un caléidoscope, pour proposer une écriture originale.

En entrant dans la danse aux côtés des danseurs de la compagnie, le groupe d’amateurs vient démultiplier le geste par contamination, reconstruire l’espace et ouvrir de nouvelles perspectives.

TOURNESOL
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TOURNESOL

DUO jeune public

et public familial

Baskets aux pieds, légère et pétillante, Marie-Charlotte déambule. Au gré de sa flânerie naît une série de postures et de gestes qui reviennent de plus en plus rapides.

 

Elle s’inspire des femmes chorégraphes présentes dans LA MACHINE et leur rend hommage. Elle danse, elle joue, et tout dans son corps et dans la musique live qui l’accompagne, interprétée par Florent Méry, nous transmet le simple plaisir d’être en mouvement…libre ! 

MÉCANIQUES
MECA3.jpg

MÉCANIQUES

DUO

À n’en pas douter le corps est constitué de nombreuses parties : les doigts, les mains, les hanches, les jambes, les pieds, le tronc, les coudes, la taille, etc.

 

Mais dans la bouche du performeur Anne-James Chaton qui en égraine la liste, ces membres semblent se distribuer de manière inattendue. Ainsi, les doigts ne sont-ils pas nécessairement accouplés à la main ; la jambe se lève sans prendre en considération le pied qu’elle soutient ; la taille s’agite pendant que le tronc paraît mener sa propre vie.

Le corps de la danseuse, Valeria Giuga, dans lequel viennent s’inscrire toutes ces paroles et ces bouts de body en liberté, sait, lui, que ces bras et cette poitrine et ce cou et cette tête doivent s’entendre d’une façon ou d’une autre. La danseuse tente de les ramener à la raison, mais le poète accélère la dynamique des mots. Le rythme va crescendo. La mécanique s’emballe. La machine joue toute seule.

Qui sait comment tout cela finira...

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